Forcing à scholomance.

Voila quelques images de notre assault de scholomance, le nécromancien à parlé.




Les membre du clan présent...



Juste pour le style :p



Dans le labo...



On se prépare à l'assault...







Ferniak, le cousin du chef, qui se bat farouchement contre la liche du labo !



Ferniak, se solote presque le voracien !



Mais ce dernier ne se laisse pas faire et l'envoie valdinguer à l'autre bout de la piece !



On se souviendra aussi des pulls légendaire de ce guerier un peu trop fougueu ^^

Trés bonne soirée en tous cas, elle gardera toujours une saveur particulière puisqu'elle aura été la dernière pour Noctirae et Kralkena... Ils ont tous deux pris une retraite méritée.
En tout cas se fut un honneur et un plaisir de vous avoir accompagné.

aah ça à l'air d'avoir été une belle aventure...

les pulls fougueux de ferniak ressemble à s'y méprendre à ceux de notre chef adoré, Trazzag. Etrange comme ces 2 cousins orcs ont tant en commun

En tout cas, si vous avez égaré vos clés à l'interieur de scholomance je serai ravi de vous escorter pour les retrouver ! Parait qu'il y a des trucs sympa qui trainent par là bas.

Kralkena, bonne retraite sous le soleil des palmiers en esperant qu'elle ne soit toutefois pas définitive. La horde réserve toujours une place d'honneur à ses plus fidèles guerriers dans le hall des héros

Sholomance...
Pour certains, c'est le bastion de la plus noire des magies en Azeroth, l'Académie des arts les plus sombres et les plus honnis qui soient, le lieu d'apprentissage incontournable de tout les Nécromanciens.
Pour d'autres, c'est le coeur du groupuscule tentaculaire connu sous le nom de "Culte des Damnés". Rien de plus que le symbole de la décadence d'une famille noble, la Maison Barov. Souillant à tout jamais son nom, cette lignée se voua corps et âme au Fléau, contre la promesse d'une gloire maléfique et d'un pouvoir eternel, au prix du royaume et avec le sang de milliers d'innocents.

Pour nous, le Clan Bloodstorm, il ne s'agit que de pions insignifiants, des insectes insignifiants qui ne se rendent pas compte de l'honneur que nos lames leurs ont fait en otant leurs vies misérables.